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S’appuyant sur les résultats de sa dernière enquête sur les effectifs, l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (A.P.E.S.) insiste sur les conséquences de cette pénurie. Celle-ci nuit à l’offre de soins pharmaceutiques et à l’usage optimal des médicaments. De plus, elle prive le réseau de professionnels en mesure d’améliorer l’accès aux soins de santé. La situation est d’autant plus préoccupante que le gouvernement n’agit pas sur les causes qui exacerbent la pénurie en refusant d’entreprendre le processus de négociation pour le renouvellement de l’entente de travail des pharmaciens d’établissement. Cette entente est maintenant échue depuis près de deux ans.

Le manque de pharmaciens dans les établissements de santé au Québec, notamment en Abitibi-Témiscamingue, entrave les soins aux patients. S’appuyant sur les résultats de sa dernière enquête sur les effectifs, l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (A.P.E.S.) insiste sur les conséquences de cette pénurie. Celle-ci nuit à l’offre de soins pharmaceutiques et à l’usage optimal des médicaments. De plus, elle prive le réseau de professionnels en mesure d’améliorer l’accès aux soins de santé. La situation est d’autant plus préoccupante que le gouvernement n’agit pas sur les causes qui exacerbent la pénurie en refusant d’entreprendre le processus de négociation pour le renouvellement de l’entente de travail des pharmaciens d’établissement. Cette entente est maintenant échue depuis près de deux ans.

Le manque de pharmaciens dans les établissements de santé au Québec, notamment en Outaouais, entrave les soins aux patients. S’appuyant sur les résultats de sa dernière enquête sur les effectifs, l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (A.P.E.S.) insiste sur les conséquences de cette pénurie. Celle-ci nuit à l’offre de soins pharmaceutiques et à l’usage optimal des médicaments. De plus, elle prive le réseau de professionnels en mesure d’améliorer l’accès aux soins de santé. La situation est d’autant plus préoccupante que le gouvernement n’agit pas sur les causes qui exacerbent la pénurie en refusant d’entreprendre le processus de négociation pour le renouvellement de l’entente de travail des pharmaciens d’établissement. Cette entente est maintenant échue depuis près de deux ans.

Le manque de pharmaciens dans les établissements de santé au Québec, notamment au Saguenay-Lac-Saint-Jean, entrave les soins aux patients. S’appuyant sur les résultats de sa dernière enquête sur les effectifs, l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (A.P.E.S.) insiste sur les conséquences de cette pénurie. Celle-ci nuit à l’offre de soins pharmaceutiques et à l’usage optimal des médicaments. De plus, elle prive le réseau de professionnels en mesure d’améliorer l’accès aux soins de santé. La situation est d’autant plus préoccupante que le gouvernement n’agit pas sur les causes qui exacerbent la pénurie en refusant d’entreprendre le processus de négociation pour le renouvellement de l’entente de travail des pharmaciens d’établissement. Cette entente est maintenant échue depuis près de deux ans.

Le manque de pharmaciens dans les établissements de santé au Québec, notamment en Montérégie, entrave les soins aux patients. S’appuyant sur les résultats de sa dernière enquête sur les effectifs, l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (A.P.E.S.) insiste sur les conséquences de cette pénurie. Celle-ci nuit à l’offre de soins pharmaceutiques et à l’usage optimal des médicaments. De plus, elle prive le réseau de professionnels en mesure d’améliorer l’accès aux soins de santé. La situation est d’autant plus préoccupante que le gouvernement n’agit pas sur les causes qui exacerbent la pénurie en refusant d’entreprendre le processus de négociation pour le renouvellement de l’entente de travail des pharmaciens d’établissement. Cette entente est maintenant échue depuis près de deux ans.

Le manque de pharmaciens dans les établissements de santé au Québec, notamment en Mauricie et au Centre-du-Québec, entrave les soins aux patients. S’appuyant sur les résultats de sa dernière enquête sur les effectifs, l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (A.P.E.S.) insiste sur les conséquences de cette pénurie. Celle-ci nuit à l’offre de soins pharmaceutiques et à l’usage optimal des médicaments. De plus, elle prive le réseau de professionnels en mesure d’améliorer l’accès aux soins de santé. La situation est d’autant plus préoccupante que le gouvernement n’agit pas sur les causes qui exacerbent la pénurie en refusant d’entreprendre le processus de négociation pour le renouvellement de l’entente de travail des pharmaciens d’établissement. Cette entente est maintenant échue depuis près de deux ans.

Le manque de pharmaciens dans les établissements de santé au Québec, notamment à Laval, entrave les soins aux patients. S’appuyant sur les résultats de sa dernière enquête sur les effectifs, l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (A.P.E.S.) insiste sur les conséquences de cette pénurie. Celle-ci nuit à l’offre de soins pharmaceutiques et à l’usage optimal des médicaments. De plus, elle prive le réseau de professionnels en mesure d’améliorer l’accès aux soins de santé. La situation est d’autant plus préoccupante que le gouvernement n’agit pas sur les causes qui exacerbent la pénurie en refusant d’entreprendre le processus de négociation pour le renouvellement de l’entente de travail des pharmaciens d’établissement.

Le manque de pharmaciens dans les établissements de santé au Québec, notamment dans les Laurentides, entrave les soins aux patients. S’appuyant sur les résultats de sa dernière enquête sur les effectifs, l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (A.P.E.S.) insiste sur les conséquences de cette pénurie. Celle-ci nuit à l’offre de soins pharmaceutiques et à l’usage optimal des médicaments. De plus, elle prive le réseau de professionnels en mesure d’améliorer l’accès aux soins de santé. La situation est d’autant plus préoccupante que le gouvernement n’agit pas sur les causes qui exacerbent la pénurie en refusant d’entreprendre le processus de négociation pour le renouvellement de l’entente de travail des pharmaciens d’établissement.

Le manque de pharmaciens dans les établissements de santé au Québec, notamment dans Lanaudière, entrave les soins aux patients. S’appuyant sur les résultats de sa dernière enquête sur les effectifs, l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (A.P.E.S.) insiste sur les conséquences de cette pénurie. Celle-ci nuit à l’offre de soins pharmaceutiques et à l’usage optimal des médicaments. De plus, elle prive le réseau de professionnels en mesure d’améliorer l’accès aux soins de santé. La situation est d’autant plus préoccupante que le gouvernement n’agit pas sur les causes qui exacerbent la pénurie en refusant d’entreprendre le processus de négociation pour le renouvellement de l’entente de travail des pharmaciens d’établissement.

Le manque de pharmaciens dans les établissements de santé au Québec, notamment en Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, entrave les soins aux patients. S’appuyant sur les résultats de sa dernière enquête sur les effectifs, l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (A.P.E.S.) insiste sur les conséquences de cette pénurie. Celle-ci nuit à l’offre de soins pharmaceutiques et à l’usage optimal des médicaments. De plus, elle prive le réseau de professionnels en mesure d’améliorer l’accès aux soins de santé. La situation est d’autant plus préoccupante que le gouvernement n’agit pas sur les causes qui exacerbent la pénurie en refusant d’entreprendre le processus de négociation pour le renouvellement de l’entente de travail des pharmaciens d’établissement.