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Le manque de pharmaciens dans les établissements de santé au Québec, notamment en Chaudière-Appalaches, entrave les soins aux patients. S’appuyant sur les résultats de sa dernière enquête sur les effectifs, l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (A.P.E.S.) insiste sur les conséquences de cette pénurie. Celle-ci nuit à l’offre de soins pharmaceutiques et à l’usage optimal des médicaments. De plus, elle prive le réseau de professionnels en mesure d’améliorer l’accès aux soins de santé. La situation est d’autant plus préoccupante que le gouvernement n’agit pas sur les causes qui exacerbent la pénurie en refusant d’entreprendre le processus de négociation pour le renouvellement de l’entente de travail des pharmaciens d’établissement.

Le manque de pharmaciens dans les établissements de santé au Québec, notamment dans la Capitale-Nationale, entrave les soins aux patients. S’appuyant sur les résultats de sa dernière enquête sur les effectifs, l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (A.P.E.S.) insiste sur les conséquences de cette pénurie. Celle-ci nuit à l’offre de soins pharmaceutiques et à l’usage optimal des médicaments. De plus, elle prive le réseau de professionnels en mesure d’améliorer l’accès aux soins de santé. La situation est d’autant plus préoccupante que le gouvernement n’agit pas sur les causes qui exacerbent la pénurie en refusant d’entreprendre le processus de négociation pour le renouvellement de l’entente de travail des pharmaciens d’établissement.

Le manque de pharmaciens dans les établissements de santé au Québec, notamment au Bas-Saint-Laurent, entrave les soins aux patients. S’appuyant sur les résultats de sa dernière enquête sur les effectifs, l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (A.P.E.S.) insiste sur les conséquences de cette pénurie. Celle-ci nuit à l’offre de soins pharmaceutiques et à l’usage optimal des médicaments. De plus, elle prive le réseau de professionnels en mesure d’améliorer l’accès aux soins de santé. La situation est d’autant plus préoccupante que le gouvernement n’agit pas sur les causes qui exacerbent la pénurie en refusant d’entreprendre le processus de négociation pour le renouvellement de l’entente de travail des pharmaciens d’établissement.

Le manque de pharmaciens dans les urgences de la région peut-il nuire aux soins offerts au patient? L’Association des pharmaciens des établissements de santé croit que oui… même si le CISSS de la Gaspésie assure que le service est comblé autrement. D’un côté comme de l’autre, on estime avoir raison. Il est vrai qu’aucun pharmacien n’est affecté aux urgences dans la région… un fait déplorable selon l’association de pharmaciens. Par contre, le CISSS affirme que les pharmaciens qui travaillent dans les hôpitaux, en dehors de l’urgence, sont capable de répondre à la demande.

Près des deux tiers des postes de pharmaciens ne sont pas pourvus dans les urgences du Québec, une pénurie qui «nuit aux soins», prévient l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec. «Les chiffres sont alarmants, et ce, partout au Québec», souligne Julie Racicot, pharmacienne et présidente de l’A.P.E.S.

Le manque de pharmaciens dans les urgences de la région peut-il nuire aux soins offerts au patient? L’Association des pharmaciens des établissements de santé croit que oui… même si le CISSS de la Gaspésie assure que le service est comblé autrement. D’un côté comme de l’autre, on estime avoir raison. Il est vrai qu’aucun pharmacien n’est affecté aux urgences dans la région… un fait déplorable selon l’association de pharmaciens. Par contre, le CISSS affirme que les pharmaciens qui travaillent dans les hôpitaux, en dehors de l’urgence, sont capable de répondre à la demande.

Le manque de pharmaciens dans les établissements de santé du Québec – y compris ceux de la Mauricie et du Centre-du-Québec – nuirait aux soins offerts aux patients selon l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec.

La pénurie de pharmaciens au CIUSSS de l'Estrie - CHUS est préoccupante; il en faudrait au moins 25 de plus pour bien répondre aux besoins.

Il y a un manque important de pharmaciens dans les hôpitaux de l’Abitibi-Témiscamingue, mais l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec n’est pas en mesure de donner un chiffre exact.