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Le manque de pharmaciens dans les hôpitaux de Chaudière-Appalaches continue d’avoir des conséquences inquiétantes sur la qualité des soins aux patients. En effet, selon une enquête de l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (A.P.E.S.), plusieurs secteurs critiques des hôpitaux fonctionnent avec des effectifs largement insuffisants, particulièrement dans la région de Chaudière-Appalaches.

Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec invite les étudiants actuellement inscrits au programme de doctorat de premier cycle en pharmacie ainsi que les diplômés du Pharm. D. des cinq dernières années à participer gratuitement au Colloque des étudiants en pharmacie intitulé « Pharmacien d’établissement de santé : pourquoi pas moi? »

89 % des besoins en pharmaciens sont non comblés dans les urgences de la Chaudière-Appalaches, affirme l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (A.P.E.S.) dans sa dernière enquête dont les résultats ont été dévoilés, le 31 janvier. L’association déplore que le gouvernement n’ait toujours pas octroyé de mandat de négociation bien que l’entente de travail avec ses membres soit échue depuis deux ans.

La Côte-Nord devrait disposer de 38 pharmaciens dans ses établissements de santé mais peine à compler la moitier de ces postes. L'A.P.E.S., toujours sans contrat de travail depuis maintenant deux ans, tente de trouver des solutions viables.

La pénurie de pharmaciens dans les établissements de santé, particulièrement en Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine, compromet l’accès aux soins et l’usage optimal des médicaments. Pourquoi le gouvernement tarde-t-il à agir malgré une entente échue depuis deux ans? Julie Racicot, Présidente de l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec, nous explique les impacts concrets de cette crise sur les patients et le réseau de santé.

L’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (APES) déplore la pénurie de pharmaciens hospitaliers en Gaspésie et aux Îles, et se dit préoccupée par son impact sur les patients.

S’appuyant sur les résultats de sa dernière enquête sur les effectifs, l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (A.P.E.S.) insiste sur les conséquences de cette pénurie. Celle-ci nuit à l’offre de soins pharmaceutiques et à l’usage optimal des médicaments. De plus, elle prive le réseau de professionnels en mesure d’améliorer l’accès aux soins de santé. La situation est d’autant plus préoccupante que le gouvernement n’agit pas sur les causes qui exacerbent la pénurie en refusant d’entreprendre le processus de négociation pour le renouvellement de l’entente de travail des pharmaciens d’établissement. Cette entente est maintenant échue depuis près de deux ans.

Le manque de pharmaciens dans les établissements de santé au Québec, notamment dans Lanaudière, entrave les soins aux patients selon l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec. Les résultats de sa dernière enquête sur les effectifs indiquent que dans les urgences lanaudoises, 66 % des besoins en pharmaciens pour prodiguer des soins pharmaceutiques sont non comblés.

Le manque de pharmaciens dans les établissements de santé au Québec, notamment en Abitibi-Témiscamingue, entrave les soins aux patients. S’appuyant sur les résultats de sa dernière enquête sur les effectifs, l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (A.P.E.S.) insiste sur les conséquences de cette pénurie. Celle-ci nuit à l’offre de soins pharmaceutiques et à l’usage optimal des médicaments. De plus, elle prive le réseau de professionnels en mesure d’améliorer l’accès aux soins de santé. La situation est d’autant plus préoccupante que le gouvernement n’agit pas sur les causes qui exacerbent la pénurie en refusant d’entreprendre le processus de négociation pour le renouvellement de l’entente de travail des pharmaciens d’établissement. Cette entente est maintenant échue depuis près de deux ans.