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L'assemblée générale des membres est l'autorité suprême de l'Association; elle adopte les politiques générales de l'Association et exerce tous les pouvoirs non dévolus à une autre instance.

L'A.P.E.S. a mis en place plusieurs groupes pour répondre aux besoins spécifiques de la profession pharmaceutique. Son objectif principal est de promouvoir la profession, de valoriser les compétences des pharmaciens et d'améliorer les pratiques dans les établissements de santé du Québec.

Le manque de pharmaciens dans les hôpitaux de Chaudière-Appalaches continue d’avoir des conséquences inquiétantes sur la qualité des soins aux patients. En effet, selon une enquête de l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (A.P.E.S.), plusieurs secteurs critiques des hôpitaux fonctionnent avec des effectifs largement insuffisants, particulièrement dans la région de Chaudière-Appalaches.

L’objectif du guide est d’outiller les pharmaciens désirant proposer une nouvelle offre de soins pharmaceutiques et d’améliorer l’accès à de tels soins pour cette population partout au Québec, qu’elle soit vue en clinique ambulatoire, à l’urgence ou admise en établissement de santé.

Le Groupe spécialisé (GS) en maladies virales chroniques publie son guide Démarche de soins pharmaceutiques en établissement de santé pour les personnes vivant avec le VIH ou à risque, y compris une série de messages clés portant sur les différents éléments de la prise en charge clinique de ces patients.

Le GTPS publie 40 politiques et procédures (93 fichiers) mises à jour, autant sur les produits stériles dangereux que non dangereux, sur ses pages Web.

L'A.P.E.S. est un groupement constitué en vertu de la Loi sur les syndicats professionnels (RLRQ, chapitre S-40). Elle peut, en conséquence, se prévaloir de tous les droits, pouvoirs et privilèges qui lui sont accordés par la Loi sur les syndicats professionnels ou par toute autre loi qui la concerne.

89 % des besoins en pharmaciens sont non comblés dans les urgences de la Chaudière-Appalaches, affirme l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (A.P.E.S.) dans sa dernière enquête dont les résultats ont été dévoilés, le 31 janvier. L’association déplore que le gouvernement n’ait toujours pas octroyé de mandat de négociation bien que l’entente de travail avec ses membres soit échue depuis deux ans.

La Côte-Nord devrait disposer de 38 pharmaciens dans ses établissements de santé mais peine à compler la moitier de ces postes. L'A.P.E.S., toujours sans contrat de travail depuis maintenant deux ans, tente de trouver des solutions viables.

La pénurie de pharmaciens dans les établissements de santé, particulièrement en Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine, compromet l’accès aux soins et l’usage optimal des médicaments. Pourquoi le gouvernement tarde-t-il à agir malgré une entente échue depuis deux ans? Julie Racicot, Présidente de l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec, nous explique les impacts concrets de cette crise sur les patients et le réseau de santé.